Pour Flora Tristan, tout le mal vient de la discrimination sociale que subissent les pauvres, les femmes, et surtout les étrangères qui se retrouvent esseulées, sans aide, complètement démunies. Il est sûr que Flora Tristan, en parlant de ce mal, parle d'abord de sa propre expérience, s'étant trouvée dans des situations similaires à celles qu'elle décrit dans ses récits de voyages (au Pérou de 1833 à 1834, et en Angleterre entre 1825 et 1839)
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