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Il est maintenant internationalement reconnu que le changement climatique a des effets disproportionnés sur les communautés vulnérables, notamment sur les populations autochtones riveraines des forêts (GIEC, 2007). Le mécanisme REDD+ (Réduction des émissions liées à la déforestation et à la dégradation des forêts et augmentation des stocks de carbone forestiers) prétend leur apporter une amélioration des conditions de vie par la lutte contre la dégradation et la déforestation des écosystèmes forestiers. Au regard de l'importance avérée que recouvre la contribution du secteur forestier dans les…mehr

Produktbeschreibung
Il est maintenant internationalement reconnu que le changement climatique a des effets disproportionnés sur les communautés vulnérables, notamment sur les populations autochtones riveraines des forêts (GIEC, 2007). Le mécanisme REDD+ (Réduction des émissions liées à la déforestation et à la dégradation des forêts et augmentation des stocks de carbone forestiers) prétend leur apporter une amélioration des conditions de vie par la lutte contre la dégradation et la déforestation des écosystèmes forestiers. Au regard de l'importance avérée que recouvre la contribution du secteur forestier dans les pays en voie de développement,la communauté internationale se propose donc de réduire de manière significative la température en dessous de 2°C d'ici 2100 et compte sur le Bassin du Congo. Les populations forestières camerounaises organisées en groupe d'initiatives communes entendent aussi faire partir de ce processus.Cependant, des obstacles méthodologiques et techniques émanant de l'implémentation de la REDD+ font corps. les mesures de gestions des forêts communautaires doivent s'actualiser et les acteurs potentiels d'utilisation des terres en développer des capacités de gestion durable.
Autorenporträt
Ghislain Tikeng AGOUM est doctorant en géographie option Térritoire-Développement-Environnement à l'université de Dschang (Ouest-Cameroun)depuis 2014. Il est fortement actif sur les instruments de politiques publiques liés au changement climatique et leur appropriation par les acteurs d'utilisation des espaces forestières dans le Bassin du Congo.