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Vous trouverez, dans ce dictionnaire, non seulement un glossaire du patois rochelais, mais également une liste de termes usités et de locutions vicieuses ou expressions naturelles. ean-Henri Burgaud des Marets, né le 2 novembre 1806 à Jarnac (Charente) et mort le 6 octobre 1873 à Paris, est un linguiste et auteur d'expression saintongeaise. Il a abordé avec talent et succès différents genres littéraires, mais ce sont surtout ses études sur les dialectes et patois qui lui ont valu sa notoriété.

Produktbeschreibung
Vous trouverez, dans ce dictionnaire, non seulement un glossaire du patois rochelais, mais également une liste de termes usités et de locutions vicieuses ou expressions naturelles. ean-Henri Burgaud des Marets, né le 2 novembre 1806 à Jarnac (Charente) et mort le 6 octobre 1873 à Paris, est un linguiste et auteur d'expression saintongeaise. Il a abordé avec talent et succès différents genres littéraires, mais ce sont surtout ses études sur les dialectes et patois qui lui ont valu sa notoriété.
Autorenporträt
ean-Henri Burgaud des Marets, né le 2 novembre 1806 à Jarnac (Charente) et mort le 6 octobre 1873 à Paris, est un linguiste et auteur d'expression saintongeaise. Il a abordé avec talent et succès différents genres littéraires, mais ce sont surtout ses études sur les dialectes et patois qui lui ont valu sa notoriété. Biographie Ses parents tenaient un commerce de draperies dans une modeste boutique de Jarnac. Il fait ses études secondaires au collège de Bordeaux et est reçu bachelier ès-lettres en 1824. Il part faire des études de droit à Paris et obtient sa licence de droit le 16 mai 1829. Il s¿inscrit en 1830au barreau de Paris, où son nom figurera de 1833 à 1873. Il se lance alors dans l¿étude des langues, idiomes et dialectes tout en préparant sa thèse de doctorat en droit, soutenue avec succès en 1837. Il connaît le grec, le latin, l'anglais, l'espagnol, l'italien, l'allemand ainsi que le polonais. Vivant à Paris, il revient régulièrement, généralement au moment des vendanges, à Jarnac, où il aime retrouver ses racines, notamment en discutant avec les paysans dont le langage mêle les mots de la langue d'oïl à ceux du français ; cela lui permet de fixer le dialecte saintongeais dont il pressent qu'il est en voie de disparaître. En 1840, il réside à rue La Bruyière. Vers 1869, sa santé s¿altère, mais il fait tout de même partie du comité de reconstitution de la bibliothèque du Louvre, incendiée par les insurgés de la Commune dans la nuit du 23 au 24 mai 1871. Il décède quelques mois plus tard à Paris mais est inhumé le 10 octobre 1873 à Jarnac, dans le caveau familial du cimetière des Grand¿ Maisons (où a aussi été inhumé le président François Mitterrand).