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La question des conflits fonciers liée à la culture de l'anacarde est aujourd'hui au coeur des débats en Côte d'Ivoire. Introduite dans l'agriculture ivoirienne à partir de 1960, les superficies des champs d'anacardiers connaissent une dynamique, précisément dans le Centre et le Nord du pays. En effet, la Sous-préfecture de Bodokro est l'une des localités où l'on observe un essor de cette culture avec une superficie estimée à 4725,27 ha en 2021. Cette dynamique s'explique par les conditions naturelles et humaines favorables. Cependant, cette culture censée réduire le niveau de pauvreté dans la…mehr

Produktbeschreibung
La question des conflits fonciers liée à la culture de l'anacarde est aujourd'hui au coeur des débats en Côte d'Ivoire. Introduite dans l'agriculture ivoirienne à partir de 1960, les superficies des champs d'anacardiers connaissent une dynamique, précisément dans le Centre et le Nord du pays. En effet, la Sous-préfecture de Bodokro est l'une des localités où l'on observe un essor de cette culture avec une superficie estimée à 4725,27 ha en 2021. Cette dynamique s'explique par les conditions naturelles et humaines favorables. Cependant, cette culture censée réduire le niveau de pauvreté dans la sous-préfecture de Bodokro, est source de divers conflits fonciers entre les différents acteurs. Le présent travail vise à analyser l'émergence des conflits fonciers autour de l'essor de la culture d'anacarde dans la Sous-préfecture de Bodokro. Pour mener à bien cette étude, la méthodologie a concerné l'observation de terrain, les entretiens auprès des autorités administratives et des autorités coutumières. Une enquête par questionnaire adressée à un échantillon de 307 paysans répartis dans dix villages de la Sous-préfecture.
Autorenporträt
Sylvain Kouamé KOFFI, né le 24 décembre 1998 à Adjokro S/P Bodokro, est actuellement étudiant en thèse de doctorat en Géographie sociale et économique à l'Université Alassane Ouattara. Il est titulaire d'une Maîtrise appliquée en Géographie humaine et d'un Master 2 en Géographie humaine à l'Université Alassane Ouattara.