Cette étude consiste à déterminer les valeurs normatives de l'hormone antimüllérienne dans une petite cohorte de femmes indiennes et à établir une corrélation entre les niveaux et les symptômes de la ménopause. De nombreuses études ont été menées sur l'hormone antimüllérienne en tant que marqueur de la fertilité, mais ce travail est le premier du genre à comparer l'hormone avec les symptômes de la ménopause. De faibles niveaux d'AMH chez les jeunes femmes indiquent des difficultés futures de conception et constituent un facteur prédictif de sous-fertilité. Les femmes en périménopause qui présentent de faibles taux d'AMH peuvent modifier leur mode de vie afin de minimiser les effets de la ménopause.