Selon le PNUD (2012), 91% de la population malagasy sont pauvres. C'est la raison pour laquelle, elle entreprend beaucoup d'activités pour subvenir à ses besoins, lesquelles entraînent des externalités négatives, y compris la pollution atmosphérique ou pollution de l'air. Cette dernière contribue à l'appauvrissement. En effet, elle peut affecter la santé, de ce fait, elle peut diminuer l'efficacité de sa productivité, donc de sa production. L'état de la pollution atmosphérique dans ce district est mauvais. Donc, il faut mettre en avant que les activités humaines sont sources de pollution d'origine fixe et mobile, caractérisées par des polluants. Les résultats de l'estimation de la quantité de ces polluants émis dans l'atmosphère sont alarmants. Par rapport à la norme standard internationale, leur émission doit être à surveiller. Par conséquent, la pollution atmosphérique provoque des maladies respiratoires, diminuant ainsi la productivité et la production, ce qui aboutit à l'appauvrissement de la population. Pour maîtriser cette pollution atmosphérique, on devrait lancer des activités peu polluantes et respectueuses de l'environnement, afin de parvenir au développement durable.