Cette thèse examine les facteurs associés à l'initiation précoce et tardive de la thérapie antirétrovirale (TAR) chez les femmes enceintes séropositives dans la région du Sud-Ouest du Cameroun. Elle examine également les raisons qui motivent ces femmes à accepter d'être initiées le jour même du diagnostic ou à le reporter à une date ultérieure. Ces facteurs seront utiles pour informer la politique visant à améliorer l'adoption de l'ART chez les femmes enceintes séropositives nouvellement diagnostiquées, un grand coup de pouce pour prévenir la transmission mère-enfant du VIH.