25,99 €
inkl. MwSt.
Versandkostenfrei*
Versandfertig in 6-10 Tagen
  • Broschiertes Buch

Les espèces envahissantes menacent la biodiversité. De multiples introductions peuvent influencer leur dispersion ou leurs impacts. Le but de cette étude était de déterminer l'interaction entre deux de ces espèces, le myriophylle à épis (Myriophyllum spicatum) et l'écrevisse à taches rouges (Orconectes rusticus) et d'étudier leur chevauchement avec les poissons littoraux. L'écrevisse pourrait réduire l'abondance de cette plante, mais aussi favoriser sa dispersion par fragmentation. Une expérience a été réalisée pour évaluer la production de fragments et la réduction de biomasse des…mehr

Produktbeschreibung
Les espèces envahissantes menacent la biodiversité. De multiples introductions peuvent influencer leur dispersion ou leurs impacts. Le but de cette étude était de déterminer l'interaction entre deux de ces espèces, le myriophylle à épis (Myriophyllum spicatum) et l'écrevisse à taches rouges (Orconectes rusticus) et d'étudier leur chevauchement avec les poissons littoraux. L'écrevisse pourrait réduire l'abondance de cette plante, mais aussi favoriser sa dispersion par fragmentation. Une expérience a été réalisée pour évaluer la production de fragments et la réduction de biomasse des myriophylles par les écrevisses. Des densités d'écrevisses moyennes et élevées ont augmenté la production de fragments alors que seules des densités élevées ont réduit la biomasse, démontrant un potentiel d'interactions positives comme négatives. Un échantillonnage au lac Pemichangan, Québec, a ensuite été mené pour évaluer les caractéristiques et la superposition de leurs habitats. Il y avait peu de chevauchement dans leur distribution, démontrant une faible probabilité d'interaction ou alors une interaction historique ayant mené à l'exclusion actuelle.
Autorenporträt
Maria José Maezo, biologiste, M.Sc, a complété sa maîtrise en écologie aquatique à l'université du Québec à Montréal, en tant que membre du Groupe de Recherche Interuniversitaire en Limnologie. Elle est aujourd'hui chargée de projets chez DAA environnement à Montréal. Beatrix Beisner et Henri Fournier ont été les directeurs du projet.