Dans l'air de Mattia Scarpulla, il y a de l'oxygène et des mots, français et italiens, qui se baladent. [...] journal des traces n'est ni intime [...] ni chronologique - la mémoire jongle avec ses oublis, elle joue avec les souvenirs, les désorganise au gré de ses envies : "l'oubli est l'histoire qui devient trace [...]". Qu'importe dans quelle langue s'élabore l'oeuvre poétique, elle "est" une langue étrangère. Le chemin à parcourir pour la rejoindre est l'espace de liberté où se niche le travail d'écriture. Marie-Gabrielle Houriez
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