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Journal du voyage de Guinée et Cayenne par le chevalier Des Marchais, Capitaine, commandant la frégate l'Expédition. - Bousquet, Robert
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On trouvera ici la copie moderne et intégrale des 149 vues du Journal du voyage à la côte de Guinée et Cayenne , enrichi de plusieurs cartes et figures, fait par la frégate de la Compagnie des Indes, l'Expédition , d'août 1724 à juin 1726, commandée par le chevalier Renaud Des Marchais. Rien n'est plus détaillé que ce que le Chevalier Des Marchais nous rapporte, note le R. P. Labat, de l'ordre des frères prêcheurs, en 1730, il semble qu'on soit sur les lieux, qu'on y traite, qu'on y commerce avec tous ces différents peuples. Il n'y a point de Caps, de Golfes, de Montagnes, de Rivières, de…mehr

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Produktbeschreibung
On trouvera ici la copie moderne et intégrale des 149 vues du Journal du voyage à la côte de Guinée et Cayenne , enrichi de plusieurs cartes et figures, fait par la frégate de la Compagnie des Indes, l'Expédition , d'août 1724 à juin 1726, commandée par le chevalier Renaud Des Marchais. Rien n'est plus détaillé que ce que le Chevalier Des Marchais nous rapporte, note le R. P. Labat, de l'ordre des frères prêcheurs, en 1730, il semble qu'on soit sur les lieux, qu'on y traite, qu'on y commerce avec tous ces différents peuples. Il n'y a point de Caps, de Golfes, de Montagnes, de Rivières, de Ruisseaux, de Plages, de Mouillages, de hauts fonds, d'écueils, qu'il n'ait vus, fréquentés, sondés, visités et dessinés avec le soin et l'exactitude d'un homme curieux, habile, entendu, bon dessinateur, bon géomètre, bon pilote, excellent Capitaine. La connaissance et la facilité de parler la plus grande partie des langues différentes qui sont en grand nombre dans ces différents États, lui a fait faire des découvertes auxquelles ceux qui ont toujours besoin d'un interprète ne peuvent jamais arriver [...]. Ses bonnes manières pour les habitants et pour les Souverains avaient tellement acquis leur estime et leur affection, que les Rois et les peuples s'empressaient également à le recevoir chez eux [...], à lui offrir des établissements et le presser de les accepter, d'y bâtir des forts, de s'y établir et d'y fixer un commerce, dont il est certain que la Compagnie qu'il servait aurait retiré des avantages considérables [...]. Comme le plus grand commerce des Français sur cette côte est à présent principalement au Royaume de Juda, c'est aussi à la description de ce petit Etat, que le chevalier des Marchais s'est attaché plus particulièrement [...] .