69,99 €
inkl. MwSt.
Versandkostenfrei*
Versandfertig in 1-2 Wochen
payback
35 °P sammeln
  • Broschiertes Buch

Cet ouvrage met l'accent sur le problème de gestion et de conservation des sites archéologiques situés en milieu urbain et ce à travers l'étude du cas de Carthage, un site tunisien inscrit sur la liste du patrimoine mondial et dont les composantes souffrent d'un urbanisme croissant qui les a réduites en lambeaux archéologiques dispersés dans la ville.Après une présentation du contexte historique, géographique et socio-politique de gestion du site, l'auteur fait recours à la méthode d'analyse SWOT, pour élaborer un constat d'état qui met l'accent sur les faiblesses structurelles,…mehr

Produktbeschreibung
Cet ouvrage met l'accent sur le problème de gestion et de conservation des sites archéologiques situés en milieu urbain et ce à travers l'étude du cas de Carthage, un site tunisien inscrit sur la liste du patrimoine mondial et dont les composantes souffrent d'un urbanisme croissant qui les a réduites en lambeaux archéologiques dispersés dans la ville.Après une présentation du contexte historique, géographique et socio-politique de gestion du site, l'auteur fait recours à la méthode d'analyse SWOT, pour élaborer un constat d'état qui met l'accent sur les faiblesses structurelles, administratives et législatives, et un diagnostic qui remonte aux causes profondes de la situation actuelle et anticipe les risques.Enfin, l'auteur propose des actions visant une meilleure gestion des différents problèmes dégagés tout en se fondant sur des expériences étrangères. Parmi les solutions, une meilleure conservation intégrée du bien dans son contexte territorial et une exploitation des nouvelles technologies, en vue de sa conservation et mise en valeur. Le site pourra désormais être perçu comme un levier du développement territorial et non plus comme un frein.
Autorenporträt
Chercheur et conservateur du patrimoine, l'auteur est titulaire d'un DEA en Histoire de l'art et Archéologie (Sorbonne-Paris4), d'une licence et d'un Master en sciences et techniques de conservation-restauration des biens culturels (Sorbonne-Paris1), et d'un doctorat en sciences du patrimoine (cotutelle entre Paris Nanterre et Tunis).