Cet ouvrage vient compléter l'analyse faite dans le premier volume en présentant le dispositif didactique et les productions des élèves qui ont servi de support à l'observation de la construction de la fiction dans les textes des jeunes collégiens. La transcription génétique utilisée pour rendre compte de leurs récits est en elle-même un acte de lecture et d'interprétation qui, en cherchant à traduire le mouvement de l'écriture, illustre la nécessité de ne pas occulter les subjectivités qui interfèrent dans l'enseignement/apprentissage de l'écriture.