The lettersin this volume cover Poincaré's multifaceted career in astronomy in itsentirety, extending from the time of his first publications in 1880 to the endof his life in 1912. At a tender age, Poincaré established his authority inquestions of celestial mechanics, and his views were soon sought after on avast array of questions by the leading astronomers and geodesists of his time,including C.V.L. Charlier, G.H. Darwin, H. Faye, F.R. Helmert, G. W. Hill, A.Lindstedt, A.M. Liapunov, N. Lockyer, S. Newcomb, K. Schwarzschild, and F.Tisserand. Poincaré and his correspondents take up topics ranging from thethree-body problem and perturbation theory to the determination of the geoideand the equilibrium figures of rotating fluid masses. The volume also shedslight on Poincaré's three terms as president of the Bureau of Longitudes, wherehe guided French astronomy and geodesy through ambitious projects, such as themeasurement of an arc of meridian near Quito.
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Les lettres du troisième volume de la Correspondance de Poincaré scandent toute son oeuvre astronomique, allant de ses premiers mémoires sur les courbes définies par une équation différentielle (1881), jusqu'aux analyses des hypothèses cosmogoniques (1911). Encore très jeune, Poincaré s'est fait remarquer pour sa maîtrise des questions de la mécanique céleste, de tel sorte que les astronomes et les géodésiens l'ont souvent interpellé, y compris O. Callandreau, C.V.L. Charlier, G.H. Darwin, F.R. Helmert, A. Lindstedt, A.M. Lyapunov, Simon Newcomb, Karl Schwarzschild et F. Tisserand.
Avec ses correspondants, Poincaré abordaient les questions principales de l'astronomie mathématique, du célèbre problème des trois corps à la théorie des perturbations et aux figures d'équilibre des masses fluides en rotation. La correspondance de Poincaré éditée et annotée dans ce volume concerne, au-delà des mémoires mathématiques, l'activité de Poincaré en tant que Professeurd'astronomie mathématique et de mécanique céleste à la Sorbonne, rédacteur en chef duBulletin astronomique, et membre du Bureau des longitudes, que Poincaré a présidé à trois reprises. Sa correspondance illumine, dans ce dernier cadre, la réalisation de la mesure d'un arc de méridien à Quito, et le règlement d'un différend franco-brittanique à propos de la différence de longitude entre Greenwich et Paris.
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Les lettres du troisième volume de la Correspondance de Poincaré scandent toute son oeuvre astronomique, allant de ses premiers mémoires sur les courbes définies par une équation différentielle (1881), jusqu'aux analyses des hypothèses cosmogoniques (1911). Encore très jeune, Poincaré s'est fait remarquer pour sa maîtrise des questions de la mécanique céleste, de tel sorte que les astronomes et les géodésiens l'ont souvent interpellé, y compris O. Callandreau, C.V.L. Charlier, G.H. Darwin, F.R. Helmert, A. Lindstedt, A.M. Lyapunov, Simon Newcomb, Karl Schwarzschild et F. Tisserand.
Avec ses correspondants, Poincaré abordaient les questions principales de l'astronomie mathématique, du célèbre problème des trois corps à la théorie des perturbations et aux figures d'équilibre des masses fluides en rotation. La correspondance de Poincaré éditée et annotée dans ce volume concerne, au-delà des mémoires mathématiques, l'activité de Poincaré en tant que Professeurd'astronomie mathématique et de mécanique céleste à la Sorbonne, rédacteur en chef duBulletin astronomique, et membre du Bureau des longitudes, que Poincaré a présidé à trois reprises. Sa correspondance illumine, dans ce dernier cadre, la réalisation de la mesure d'un arc de méridien à Quito, et le règlement d'un différend franco-brittanique à propos de la différence de longitude entre Greenwich et Paris.