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En 1971, le Bangladesh est devenu officiellement une nation indépendante. Toutefois, en raison de la corruption, les Bangladais ne peuvent toujours pas jouir pleinement de la liberté, de l'État de droit ou de la démocratie libérale. Un petit nombre d'individus corrompus ont fait de l'égalité, de l'équité et de l'indépendance un mythe pour les gens ordinaires, mettant en péril nos institutions. Une question peut se poser : comment font-ils pour gouverner 173 millions de personnes ? Ces individus corrompus sont extrêmement unis ; en d'autres termes, ils créent de nombreux "réseaux d'unité" ou…mehr

Produktbeschreibung
En 1971, le Bangladesh est devenu officiellement une nation indépendante. Toutefois, en raison de la corruption, les Bangladais ne peuvent toujours pas jouir pleinement de la liberté, de l'État de droit ou de la démocratie libérale. Un petit nombre d'individus corrompus ont fait de l'égalité, de l'équité et de l'indépendance un mythe pour les gens ordinaires, mettant en péril nos institutions. Une question peut se poser : comment font-ils pour gouverner 173 millions de personnes ? Ces individus corrompus sont extrêmement unis ; en d'autres termes, ils créent de nombreux "réseaux d'unité" ou "pièges d'unité". De nombreux pays dans le monde ont des niveaux de corruption peu élevés. Cependant, nos bureaucrates et nos politiciens ne semblent pas vouloir adopter ces modèles pour sauvegarder leurs intérêts déloyaux. Ils exploitent la confiance des gens ordinaires. D'aucuns diront que le nombre de personnes riches augmente actuellement. Si le nombre de riches augmente dans la société, cela indique également une augmentation du nombre de pauvres puisque nos ressources économiques sont limitées.Je voudrais citer un exemple : "Les gens n'émigrent pas du Bangladesh en permanence à cause de la pauvreté ; ils émigrent surtout à cause de l'absence de sécurité sociale, de liberté et de démocratie libérale."
Autorenporträt
Md. Kamrul Hasan, citoyen bangladais et finlandais, possède une expérience sociétale complète au sein de la communauté bangladaise et de la société européenne grâce à sa vie universitaire. Il travaille à la création d'un avenir durable grâce aux principes de l'économie circulaire. L'essentiel de ses écrits vise à protéger les intérêts du Bangladesh.