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L'objectif de ce travail est de vérifier le lien existant entre les transferts de fonds des migrants et la croissance économique en Afrique Subsaharienne (ASS), à la lumière de la théorie de la croissance endogène. Dans cette perspective, à la faveur des travaux de Ziesemer (2006) nous admettons que la contribution des transferts de fonds des migrants à la croissance nécessite la prise en compte de canaux. Pour tester l'effectivité des canaux, nous appliquons, sur le plan méthodologique, la méthode Residual Generated Regressors développée par Pagan (1984) sur un panel de 18 pays de l'ASS,…mehr

Produktbeschreibung
L'objectif de ce travail est de vérifier le lien existant entre les transferts de fonds des migrants et la croissance économique en Afrique Subsaharienne (ASS), à la lumière de la théorie de la croissance endogène. Dans cette perspective, à la faveur des travaux de Ziesemer (2006) nous admettons que la contribution des transferts de fonds des migrants à la croissance nécessite la prise en compte de canaux. Pour tester l'effectivité des canaux, nous appliquons, sur le plan méthodologique, la méthode Residual Generated Regressors développée par Pagan (1984) sur un panel de 18 pays de l'ASS, choisi en fonction de la disponibilité des données. Les principaux résultats auxquels nous parvenons montrent que : (1) le canal du capital physique influence positivement et significativement l'effet des transferts de fonds des migrants sur la croissance ; (2) le canal du capital humain influence positivement et significativement l'effet des transferts de fonds des migrants sur la croissance.
Autorenporträt
Mathilde Marthe ENOUGA est titulaire d'un doctorat en sciences économiques de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) sous le Programme de Troisième Cycle Interuniversitaire en économie (PTCI). Ses domaines d'intérêt sont liés à l'économie du développement, la migration, le marché du travail et l'analyse des politiques économiques.