Après une lecture approfondie de divers auteurs interdépendants, dont l'intérêt spécifique était de lire la Divine Comédie, un texte sur la politique du Moyen Âge déguisé en poésie et en chant d'amour, dans le but de l'apprécier, de l'analyser et de le critiquer à la lumière de la recherche sociolittéraire moderne, l'auteur, journaliste et professeur Volmer S. do Rêgo, a tenté de mettre en évidence l'aspect le plus dramatique de ce texte polysémique. do Rêgo, a tenté de mettre en évidence l'aspect le plus dramatique du texte polysémique, qui le caractérise comme une oeuvre immortelle de la poésie latine occidentale : une dénonciation de l'échec de la tentative humaine d'exercer un pouvoir terrestre sur les populations, par le biais d'une colonisation et d'une domination romaines étendues, depuis la première année de l'ère chrétienne, lorsque Rome (la maison des loups) répétait ses premiers arrangements politico-religieux avec les Juifs, jusqu'à la lutte acharnée des États nationaux européens naissants et encore embryonnaires, intéressés par la connaissance et par l'énorme pouvoir détenu par les papes, à une époque où la chute de l'empire en Orient et la Renaissance culturelle européenne se profilaient déjà à l'horizon. L'axe de cette querelle sanglante reste cependant jusqu'à aujourd'hui entre l'hémisphère nord germanique et l'hémisphère sud latin, sous diverses appellations : géopolitique et mondialisation sont les plus courantes.