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En 2005, le Québec se dotait d'une directive ministérielle énonçant que désormais les institutions de santé et de services sociaux devaient s'assurer d'obtenir la participation des utilisateurs de services et de leurs proches, et ce, pour tous les exercices de planification et d'organisation des services de santé mentale. Cette directive n'avait cependant fournit aucun autre repère: la notion de participation n'y était pas définie, il n'y avait pas de budget alloué à cette fonction, la question de la représentativité n'était pas soulevée et les instances impliquées n'ont été soumises à aucun…mehr

Produktbeschreibung
En 2005, le Québec se dotait d'une directive ministérielle énonçant que désormais les institutions de santé et de services sociaux devaient s'assurer d'obtenir la participation des utilisateurs de services et de leurs proches, et ce, pour tous les exercices de planification et d'organisation des services de santé mentale. Cette directive n'avait cependant fournit aucun autre repère: la notion de participation n'y était pas définie, il n'y avait pas de budget alloué à cette fonction, la question de la représentativité n'était pas soulevée et les instances impliquées n'ont été soumises à aucun processus de reddition de compte. Cet ouvrage vise à faire un état de situation sur la manière dont, cinq ans plus tard, ont a répondu à cette directive : Qui participe? À quoi participe-t-on? Comment y participe-t-on? Pourquoi participe-t-on? Avec quelle influence?
Autorenporträt
Michèle Clément, Ph. D., est chercheure au CSSS- de la Vieille-Capitale et professeure associée au département de médecine sociale et préventive de l''Université Laval à Québec. Ses intérêts de recherche portent sur les phénomènes d''exclusion sociale touchant les personnes présentant des troubles mentaux ainsi que les droits des usagers.