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"La Jeunesse d'Adrien Zograffi" est un roman de l'écrivain roumain Panaït Istrati. Le livre est divisé en plusieurs tomes,, le troisième tome de "La Jeunesse d'Adrien Zograffi" de Panaït Istrati, intitulé "Mes départs," continue de raconter les aventures d'Adrien Zograffi, le protagoniste de la série. Dans ce tome, Adrien poursuit son voyage à travers diverses régions et fait l'expérience de nouvelles rencontres, épreuves et découvertes. Les romans de Panaït Istrati se caractérisent souvent par la quête d'identité, l'exploration de thèmes sociaux et la vie de personnages marginaux. Adrien…mehr

Produktbeschreibung
"La Jeunesse d'Adrien Zograffi" est un roman de l'écrivain roumain Panaït Istrati. Le livre est divisé en plusieurs tomes,, le troisième tome de "La Jeunesse d'Adrien Zograffi" de Panaït Istrati, intitulé "Mes départs," continue de raconter les aventures d'Adrien Zograffi, le protagoniste de la série. Dans ce tome, Adrien poursuit son voyage à travers diverses régions et fait l'expérience de nouvelles rencontres, épreuves et découvertes. Les romans de Panaït Istrati se caractérisent souvent par la quête d'identité, l'exploration de thèmes sociaux et la vie de personnages marginaux. Adrien Zograffi, en tant que personnage central, évolue tout au long de la série, et chaque tome contribue à son développement en tant qu'individu.
Autorenporträt
Panaït Istrati naît à Br¿ila, un port roumain sur le Danube, fils de la blanchisseuse Joi¿a Istrate et d'un contrebandier grec, Gherasim Valsamis. Son père est tué par les garde-côtes alors que Panaït est encore bébé. Élevé à Baldovine¿ti, village proche de Br¿ila, il étudie à l'école primaire durant six ans, en redoublant la première année. Il gagne ensuite sa vie comme apprenti chez un cabaretier, où il apprend le grec, puis chez un pâtissier albanais. Il devient ensuite marchand ambulant, man¿uvre, soutier à bord des paquebots du Service maritime roumain. Pendant cette période, il est un lecteur compulsif, et ses voyages le mènent à Bucarest, à Constantinople, au Caire, à Naples, à Paris et en Suisse. Il parle roumain, turc et grec avant tout contact avec le français. En 1916, Istrati contracte la phtisie. Il séjourne dans un sanatorium suisse à Leysin et fait la connaissance de Josué Jéhouda, qui lui apprend le français et lui fait découvrir les romans de Romain Rolland. Istrati en est plus qu'impressionné et fait du romancier son maître à penser. Une fois rétabli, il poursuit ses errances autour de la Méditerranée et commence à écrire en français. Il envoie son manuscrit à Romain Rolland qui, ayant déménagé, ne le reçoit pas. Istrati erre alors dans l'Europe à feu et à sang de la Première Guerre mondiale.