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"Ce livre est probablement le plus beau qui soit sorti de la main des hommes. Jamais on n'a énoncé avec plus de force l'unité du principe absolu des choses, essence et point culminant de la philosdophie indienne. De là découle une morale qu'on n'a point surpassée, morale non seulement théorique, mais pratique par excellence, unissant les plus nobles affections de la nature humaine à la loi stoïque du désintéressement. Il faut lire ce petit livre et s'en nourrir. Nous en avons le plus grand besoin." BURNOUF, 1861 Ainsi parle le traducteur de la BHAGAVAD-GÎTÂ, ce merveilleux poème du IIè s.…mehr

Produktbeschreibung
"Ce livre est probablement le plus beau qui soit sorti de la main des hommes. Jamais on n'a énoncé avec plus de force l'unité du principe absolu des choses, essence et point culminant de la philosdophie indienne. De là découle une morale qu'on n'a point surpassée, morale non seulement théorique, mais pratique par excellence, unissant les plus nobles affections de la nature humaine à la loi stoïque du désintéressement. Il faut lire ce petit livre et s'en nourrir. Nous en avons le plus grand besoin." BURNOUF, 1861 Ainsi parle le traducteur de la BHAGAVAD-GÎTÂ, ce merveilleux poème du IIè s. avant J.C., que nous publions ici, agrémenté d'une passionnante et érudite édute du linguiste Victor Henry sur les pratiques magiques et les croyances dans l'Inde antique.
Autorenporträt
Victor Henry est un linguiste français, né le 17 août 1850 à Colmar (Alsace) en France et mort à Sceaux le 6 février 1907. Licencié en Lettres (1880) et docteur en droit, conservateur en chef de la bibliothèque municipale de Lille, il enseigne d'abord l'économie à la faculté de lettres de Lille et a un poste de professeur d'économie politique, de géographie commerciale et de législation usuelle à l'Institut industriel du Nord (École centrale de Lille) de 1872 à 1888, tout en préparant une thèse de linguistique. Docteur en 1883, il voit sa thèse couronnée par le Prix Volney, ce qui lui vaut un poste d'assistant en Philologie Classique à Douai, avant d'entamer une carrière parisienne. À partir de 1888, il succède à Abel Bergaigne à la chaire de sanscrit et grammaire comparée de la Faculté des Lettres de Paris (Sorbonne) qu'il partage d'abord avec Sylvain Lévi, puis qu'il occupe seul.