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Dans ce livre, Victor Henry explore les systèmes de croyances et les pratiques magiques de la culture védique de l'Inde antique. Il examine les divers rites, cérémonies et incantations utilisés par les prêtres pour invoquer les dieux et interpréter les signes du destin. This work has been selected by scholars as being culturally important, and is part of the knowledge base of civilization as we know it. This work is in the "public domain in the United States of America, and possibly other nations. Within the United States, you may freely copy and distribute this work, as no entity (individual…mehr

Produktbeschreibung
Dans ce livre, Victor Henry explore les systèmes de croyances et les pratiques magiques de la culture védique de l'Inde antique. Il examine les divers rites, cérémonies et incantations utilisés par les prêtres pour invoquer les dieux et interpréter les signes du destin. This work has been selected by scholars as being culturally important, and is part of the knowledge base of civilization as we know it. This work is in the "public domain in the United States of America, and possibly other nations. Within the United States, you may freely copy and distribute this work, as no entity (individual or corporate) has a copyright on the body of the work. Scholars believe, and we concur, that this work is important enough to be preserved, reproduced, and made generally available to the public. We appreciate your support of the preservation process, and thank you for being an important part of keeping this knowledge alive and relevant.
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Autorenporträt
Victor Henry est un linguiste français, né le 17 août 1850 à Colmar (Alsace) en France et mort à Sceaux le 6 février 1907. Licencié en Lettres (1880) et docteur en droit, conservateur en chef de la bibliothèque municipale de Lille, il enseigne d'abord l'économie à la faculté de lettres de Lille et a un poste de professeur d'économie politique, de géographie commerciale et de législation usuelle à l'Institut industriel du Nord (École centrale de Lille) de 1872 à 1888, tout en préparant une thèse de linguistique. Docteur en 1883, il voit sa thèse couronnée par le Prix Volney, ce qui lui vaut un poste d'assistant en Philologie Classique à Douai, avant d'entamer une carrière parisienne. À partir de 1888, il succède à Abel Bergaigne à la chaire de sanscrit et grammaire comparée de la Faculté des Lettres de Paris (Sorbonne) qu'il partage d'abord avec Sylvain Lévi, puis qu'il occupe seul.