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Malgré de nombreuses études portant sur la monnaie, celle-ci reste soumise, dans de nombreux pays, à des mauvaises pratiques, tout en étant de surcroît inconnue dans son rôle spécifique d'instrument de mesure de la valeur des biens et services. Il en est ainsi qu'en France, les instruments monétaires sont apparus, dans la pratique, comme des instruments de politique publique relevant de la discrétion des institutions comme la Banque centrale secondée du Trésor, leur permettant de faire gagner de l'argent pour l'État par le biais de leurs manipulations. Cependant, ailleurs dans le monde, des…mehr

Produktbeschreibung
Malgré de nombreuses études portant sur la monnaie, celle-ci reste soumise, dans de nombreux pays, à des mauvaises pratiques, tout en étant de surcroît inconnue dans son rôle spécifique d'instrument de mesure de la valeur des biens et services. Il en est ainsi qu'en France, les instruments monétaires sont apparus, dans la pratique, comme des instruments de politique publique relevant de la discrétion des institutions comme la Banque centrale secondée du Trésor, leur permettant de faire gagner de l'argent pour l'État par le biais de leurs manipulations. Cependant, ailleurs dans le monde, des expériences différentes ont eu lieu. Ainsi, dans l'empire du Mali, un bien privé, le cauri, disponible sur le marché libre, a rempli pleinement son rôle de monnaie sans avoir été soumis à aucune manipulation en faveur d'une autorité ou au détriment de la population. Ainsi, après avoir établi que les instruments monétaires sont en réalité des instruments de mesure au sein de la discipline économique, les présents travaux ont montré que ces instruments ont pu être utilisés en violation de leur usage spécifique, engendrant la pauvreté, suite à la violation de l'intérêt général et individuel.
Autorenporträt
Lamine KEITA: Doktor der Wirtschaftswissenschaften, Ingenieur für Wirtschaftsstatistik der ENSAE-CESD. Er arbeitete an der Ausbildung von Wirtschaftsstatistikingenieuren an der ENEA in Dakar, an der Stärkung der Analysekapazitäten des öffentlichen Dienstes in der Präsidentschaft der Republik Mali und an deren Prüfung im Büro des Generalprüfers von Mali.