Pour l'auteur la "neurophilosophie" ne saurait se réduire au principe de "l'Homme neuronal" et ses herméneutiques réductives, ni aux modélisations formelles, issues d'une psychiatrie inspirée par l'empirisme logique... Faut-il alors - en quel sens et dans quelles limites ? - se rallier à un nouveau "dualisme" ou à une forme de "transcendance" de l'Esprit sur la matérialité du cerveau ?
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