Demeure la nuit pourpre, et celle qui fait danser la poussière dans le rêve du temps. Demeure aussi l'abandon à goût de néant dans l'éternelle nuit toujours recommencée. Attendre, sans ciller, l'aube définitive et "hôte non salué" partir... Et pour autant : "rien n'a été perdu". De la poésie écrite avec l'encre coagulée, celle de Gian Carlo Pizzi.
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