Ce livre se propose de réaliser le projet ambitieux d'établir les fondements d'une épistémologie des nanotechnosciences. Il s'agit d'une analyse de philosophie des sciences portant sur cet objet nouveau et de grande importance scientifique, économique et sociale.
Cet ouvrage dresse un paysage détaillé des questions épistémologiques que posent les nanotechnosciences et cherche, chez les philosophes des sciences qui proposent des théories du changement scientifique, les moyens de répondre à ces questions. Cela conduit l'auteur à présenter et à discuter en profondeur les thèses de Kuhn, Lakatos, Robert et Hacking.
Compte tenu des conclusions de son examen et selon lesquelles aucune des théories philosophiques actuelles n'a les moyens de répondre vraiment aux questions épistémologiques soulevées par l'avènement des "nanotechnologies ". Guèye suggère quelques pistes pour ce faire, en s'appuyant sur la philosophie du langage d'Austin et sur les travaux de Denis Vernant.
Il procède à l'examen des principales théories philosophiques du changement scientifique dans le but de décider si elles sont capables de prendre en charge le changement introduit par l'apparition des nouvelles technologies de "l'infiniment petit ". Ce projet philosophique tire son intérêt et sa pertinence d'abord du fait que l'apparition des nanotechnologies constitue un changement majeur, et il serait intéressant de disposer d'une théorie du changement scientifique qui en rendît compte.
Un autre thème majeur du manuscrit est celui de la place de la recherche de la vérité dans les nanotechnosciences. Même s'il s'agit d'un thème trop vaste pour faire l'objet d'une thèse, Guèye l'affronte cependant à sa manière dans ce livre.
D'autres thèmes, comme celui du rapport entre science et technologie y sont abordés plus franchement.
Cet ouvrage dresse un paysage détaillé des questions épistémologiques que posent les nanotechnosciences et cherche, chez les philosophes des sciences qui proposent des théories du changement scientifique, les moyens de répondre à ces questions. Cela conduit l'auteur à présenter et à discuter en profondeur les thèses de Kuhn, Lakatos, Robert et Hacking.
Compte tenu des conclusions de son examen et selon lesquelles aucune des théories philosophiques actuelles n'a les moyens de répondre vraiment aux questions épistémologiques soulevées par l'avènement des "nanotechnologies ". Guèye suggère quelques pistes pour ce faire, en s'appuyant sur la philosophie du langage d'Austin et sur les travaux de Denis Vernant.
Il procède à l'examen des principales théories philosophiques du changement scientifique dans le but de décider si elles sont capables de prendre en charge le changement introduit par l'apparition des nouvelles technologies de "l'infiniment petit ". Ce projet philosophique tire son intérêt et sa pertinence d'abord du fait que l'apparition des nanotechnologies constitue un changement majeur, et il serait intéressant de disposer d'une théorie du changement scientifique qui en rendît compte.
Un autre thème majeur du manuscrit est celui de la place de la recherche de la vérité dans les nanotechnosciences. Même s'il s'agit d'un thème trop vaste pour faire l'objet d'une thèse, Guèye l'affronte cependant à sa manière dans ce livre.
D'autres thèmes, comme celui du rapport entre science et technologie y sont abordés plus franchement.