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En 1836, Emile de Girardin lance un nouveau journal "La Presse" ayant pour objectif de " vendre bon marché pour vendre beaucoup et inversement ". Dans cette perspective, et pour y parvenir sans sacrifier la qualité, il ouvre ses colonnes à l'annonce commerciale. Les frais d'édition sont couverts partiellement par la publicité qui afflue vers les journaux à plus forte diffusion. Cette pratique est immédiatement dénoncée par Louis Blanc pour qui " le journalisme allait devenir le porte-voix de la spéculation ". Ainsi moins d'un siècle après la parution du premier quotidien français, les…mehr

Produktbeschreibung
En 1836, Emile de Girardin lance un nouveau journal "La Presse" ayant pour objectif de " vendre bon marché pour vendre beaucoup et inversement ". Dans cette perspective, et pour y parvenir sans sacrifier la qualité, il ouvre ses colonnes à l'annonce commerciale. Les frais d'édition sont couverts partiellement par la publicité qui afflue vers les journaux à plus forte diffusion. Cette pratique est immédiatement dénoncée par Louis Blanc pour qui " le journalisme allait devenir le porte-voix de la spéculation ". Ainsi moins d'un siècle après la parution du premier quotidien français, les relations entre presse et publicité créent la polémique en même temps qu'elles se développent et se renforcent. C'est à partir de ce moment-là que naît le débat entre la presse et la publicité.
Autorenporträt
Sandrine Méot, ancienne étudiante en Master LLCE de langue anglaise, décide en 2014 de poursuivre un master en Etudes Européennes à l'université de la Sorbonne Nouvelle. C'est lors de ce master 2 qu'elle prendra la décision d'étudier la relation entre le contenu éditorial et la publicité dans la presse féminine et de publier son mémoire.