La planification participative comme voie vers la bonne gouvernance et le développement
Étude de cas de la province du Zambèze - Mozambique
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Le Mozambique, comme toutes les anciennes colonies, a cherché peu après son indépendance en 1975 à suivre des voies pouvant mener à l'autonomie économique. Pendant douze ans, de 1975 à 1987, le Mozambique a adopté une économie socialiste caractérisée par une planification centralisée, avec l'agriculture comme moteur du développement rural. En raison des échecs de ce modèle, ainsi que des erreurs et des excès, à partir de 1987, le pays a pris un tournant dans sa politique économique en adoptant l'économie de marché comme planche d'épargne superficielle pour l'économie déj...
Le Mozambique, comme toutes les anciennes colonies, a cherché peu après son indépendance en 1975 à suivre des voies pouvant mener à l'autonomie économique. Pendant douze ans, de 1975 à 1987, le Mozambique a adopté une économie socialiste caractérisée par une planification centralisée, avec l'agriculture comme moteur du développement rural. En raison des échecs de ce modèle, ainsi que des erreurs et des excès, à partir de 1987, le pays a pris un tournant dans sa politique économique en adoptant l'économie de marché comme planche d'épargne superficielle pour l'économie déjà appauvrie. Le processus de décentralisation a donné lieu à de nouvelles initiatives de développement destinées aux campagnes, où la participation des communautés au processus de planification est prioritaire. Cependant, la planification participative en tant que processus présente de nombreux avantages et garantit une meilleure satisfaction des intérêts des populations que le modèle centralisé ; cependant, le manque de confiance persiste, la planification participative crée une plus grande satisfaction et confiance des autorités au sein des communautés.
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