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Aujourd'hui (2012) le code du travail contient un volet sur la prise en compte de la pénibilité lors de la demande d'un départ anticipé en retraite. Ce thème n'est pas arrivé sur le devant de la scène par hasard. En effet, il surgit dans un contexte d'intensification du travail et de hausse importante des maladies professionnelles. D'autre part, il apparaît que le vieillissement de la population met notre système de retraite en péril, les actifs devenant moins nombreux que les retraités. La pénibilité selon la loi se définit par des facteurs reliés à des conditions de travail qui sont…mehr

Produktbeschreibung
Aujourd'hui (2012) le code du travail contient un volet sur la prise en compte de la pénibilité lors de la demande d'un départ anticipé en retraite. Ce thème n'est pas arrivé sur le devant de la scène par hasard. En effet, il surgit dans un contexte d'intensification du travail et de hausse importante des maladies professionnelles. D'autre part, il apparaît que le vieillissement de la population met notre système de retraite en péril, les actifs devenant moins nombreux que les retraités. La pénibilité selon la loi se définit par des facteurs reliés à des conditions de travail qui sont directement observables. Il est à noter qu'ils ont été définis au regard du nombre de maladies professionnelles important qu'ils engendrent. Cette forme de pénibilité est appelée pénibilité objective. Pourtant, une autre forme de pénibilité existe, celle liée au ressenti que les opérateurs ont des conditions de travail, appelée pénibilité vécue. Pourquoi est-elle importante ? Elle est importante, car, dans un contexte d'allongement du temps de travail, elle pourrait tout de même empêcher des salariés de continuer leur activité jusqu'au nouvel âge légal de départ à la retraite : 62 ans.
Autorenporträt
Ergonome et psychologue du travail, consultant en ergonomie.