L'augmentation du taux de criminalité, en particulier la criminalité violente impliquant le terrorisme, les vols à main armée, les attaques des bergers fulaniques, le banditisme, les meurtres rituels, les assassinats politiques, la violence ethnique et religieuse, les enlèvements, le vandalisme des canalisations, la violence électorale, devient un problème très sérieux pour la société nigériane. Il est donc impératif de savoir que le crime est un risque évident et possède une menace majeure à la coexistence ordonnée des citoyens, d'où la nécessité de la police communautaire. L'objectif de ce travail était donc d'établir s'il existe une relation entre la police de proximité et la sécurité nationale dans certaines zones de gouvernement local de l'État de Bayelsa, au Nigeria. Il existe deux théories concurrentes pour notre cadre théorique : la théorie démocratique et la théorie de l'implantation communautaire de la police de proximité, mais nous avons adopté la dernière. L'étude a adopté un modèle de recherche descriptif pour enquêter sur 2 277 961 habitants de Bayelsa, en utilisant la formule Taro-Yamane pour constituer un échantillon de 400 personnes. Les principaux instruments utilisés pour générer les données de cette étude sont le questionnaire, l'observation et l'entretien.
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