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Le bracelet électronique a la taille d'une grosse montre de plongée et la plupart des personnes optent pour une fixation à la cheville. Dans un souci de discrétion, les femmes abandonnent leurs robes et leurs jupes et les hommes renoncent au short. À leur domicile, une ligne téléphonique est nécessaire pour installer le boîtier qui permettra leur surveillance. Et chaque jour que dure leur peine, ils sont astreints aux horaires définis dans l'ordonnance rendue par le juge. Métro-boulot-dodo pour la semaine et les samedis et dimanches, dans la plupart des cas, la personne dispose de trois heures…mehr

Produktbeschreibung
Le bracelet électronique a la taille d'une grosse montre de plongée et la plupart des personnes optent pour une fixation à la cheville. Dans un souci de discrétion, les femmes abandonnent leurs robes et leurs jupes et les hommes renoncent au short. À leur domicile, une ligne téléphonique est nécessaire pour installer le boîtier qui permettra leur surveillance. Et chaque jour que dure leur peine, ils sont astreints aux horaires définis dans l'ordonnance rendue par le juge. Métro-boulot-dodo pour la semaine et les samedis et dimanches, dans la plupart des cas, la personne dispose de trois heures où elle peut quitter son domicile. En France, le bracelet électronique destiné aux personnes condamnées à une peine inférieure à un an, aux détenus dont le reliquat de peine est inférieur à une année et, depuis juin 2000, à certains prévenus, le bracelet électronique fonctionne donc sur le principe des horaires à respecter. « Il s'agit d'une mesure statique : vous devez être à votre domicile sur certains créneaux horaires. Par conséquent, il ne s'agit pas d'un contrôle des mouvements de la personne », souligne Sylvie Marion, chef du département « insertion et probation ».
Autorenporträt
Nathan KAHANGU KANYIMBU, né le 21.01.1993, Province du Lualaba. Diplômé en Droit privé et judiciaire à l'Université de Kolwezi en 2017. Sarah KULITA YAV, née le 07.04.1993, Province du Lualaba. Diplômée en Droit public à l'Université de Kolwezi en 2024. Ils prêtent serment à la Cour d'appel pour être Avocats au barreau du Lualaba.