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Situés entre l'administration d'origine et les archives nationales, les services de pré archivage ont pour tâches la gestion des archives intermédiaires, en vue d'assurer à long terme la conservation et l'utilisation de l'énorme masse de dossiers que les administrations ne cessent de produire. Au Burkina Faso, ces services rencontrent de graves obstacles dans l'accomplissement de leurs tâches, du fait de l'absence ou de l'insuffisance d'une stratégie de gestion des dossiers: production en masse, exiguïté des locaux, manque de matériels,manque de professionnels.... Il est question dans ce…mehr

Produktbeschreibung
Situés entre l'administration d'origine et les archives nationales, les services de pré archivage ont pour tâches la gestion des archives intermédiaires, en vue d'assurer à long terme la conservation et l'utilisation de l'énorme masse de dossiers que les administrations ne cessent de produire. Au Burkina Faso, ces services rencontrent de graves obstacles dans l'accomplissement de leurs tâches, du fait de l'absence ou de l'insuffisance d'une stratégie de gestion des dossiers: production en masse, exiguïté des locaux, manque de matériels,manque de professionnels.... Il est question dans ce document d'un plan de gestion visant à réhabiliter un service de pré archivage par une série de mesures liées les unes aux autres. Il s'agit d'actions urgentes,à moyen et long terme qui concourent à la maîtrise du flux des documents et le traitement du passif : dépoussiérage, récolement, numérisation, versement,communication. Notre travail vise à renforcer la constitution d'un patrimoine documentaire national, c'est-à-dire organiser les archives ministérielles pour une mémoire représentative et une source fiable pour la recherche et la bonne gouvernance en favorisant l'accès à l'information.
Autorenporträt
W. Albert Ouédraogo est né le 16/3/1978 à yako.Il a passé ses études primaires et secondaires à yako à côté de ses parents. Après son bac, il s'inscrit dans le département de sociologie de l'Université de Ouagadougou. En fin de cycle il est admis à l'Université Senghor d'Alexandrie où il décida de s'investir dans les archives et obtint un master.