La proscription du peuple autochtone du Biafra est un affront aux droits de l'homme
Vis-a-Vis au droit à l'autodétermination
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Le droit à l'autodétermination est un droit de l'homme fondamental qui est mondialement reconnu. L'autodétermination est inhérente à l'être humain et précède les sociétés politiques. Il s'agit d'un droit inaliénable qui est dévolu aux personnes du fait qu'elles sont des êtres humains. Afin de réitérer l'importance de ce droit, il a été codifié dans des statuts qui lient les nations du monde.La Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones et la Charte africaine des droits de l'homme et des peuples sont quelques-uns des traités conclus par les pays pou...
Le droit à l'autodétermination est un droit de l'homme fondamental qui est mondialement reconnu. L'autodétermination est inhérente à l'être humain et précède les sociétés politiques. Il s'agit d'un droit inaliénable qui est dévolu aux personnes du fait qu'elles sont des êtres humains. Afin de réitérer l'importance de ce droit, il a été codifié dans des statuts qui lient les nations du monde.La Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones et la Charte africaine des droits de l'homme et des peuples sont quelques-uns des traités conclus par les pays pour s'assurer que ce droit est protégé de manière adéquate. Cependant, il est consternant de constater que certains gouvernements et leurs institutions, dans certaines parties du monde, s'opposent avec véhémence à ce droit naturel, allant ainsi à l'encontre de la doctrine "PactSuntServanda". Un exemple récent est la proscription du Peuple indigène du Biafra (IPOB), qui se compose principalement de la partie sud-est du pays et le lancement de l'opération "Python Dance" par les forces armées nigérianes sous le commandement du Président Muhammad Buhari, le Président de la République fédérale du Nigeria.
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