Thèse de Master de l'année 2015 dans le domaine Droit - Droit public / Autres, note: 14/20, Université Félix Houphouët-Boigny (Université Félix Houphouët-Boigny), langue: Français, résumé: On aborde la normalisation voir la régularisation du traitement international de l'environnement en partant d'une perspective transfrontalière. La question environnementale devient alors une problématique universelle, objet de tous les débats, même si en ces temps, les pollutions demeuraient encore relativement localisées à certains éléments de la nature comme les cours d'eaux d'importance internationale. Il s'agit alors d'appréhender la question de la protection de l'environnement marin par le droit international.
Résultant de la complexité des relations entre l'homme et la nature (qui constitue d'ailleurs son cadre de vie), il apparait nécessaire de réguler les rapports de celui-ci avec cette dernière pour sa survie existentielle mais aussi et surtout pour la préservation des droits (à la vie) des générations futures.
La nécessité de préciser les contours de la notion d'environnement marin peut s'expliquer et se justifier par toute une série de notions voisines renvoyant de manière fort utile à la même réalité -de préservation de la vie présente et future par la pratique de l'équité intergénérationnelle- en partant de : écologie, nature, espace maritime, biodiversité, ressources halieutiques, minières... et aboutissant à la notion synthétique de développement durable. La notion d'environnement marin est donc toute aussi vaste que l'espace auquel il s'applique. L'environnement s'appréhende comme une notion polysémique.
Du point de vue de la littérature, l'expression environnement signifie l'ensemble des éléments naturels et artificiels qui entourent un individu humain, animal ou végétal ou une espèce. Aussi apparait-elle comme la composition des éléments objectifs et subjectifs qui constituent le cadre de vie de l'individu.
Vu sous cet angle, l'environnement demeure une notion superficielle dans la mesure où elle est présentée comme un phénomène matériel et statique dont l'existence semble à première vue éternelle. Elle serait non évolutive, non dégradable car cette définition littérale établie une relation de passivité de l'homme avec cette dernière. Or l'homme est un être insatiable et abusant de son voisin environnement. En tant qu'unique être doué de raison, il a toujours eu un ascendant sur la nature, selon une conception anthropocentriste.
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Résultant de la complexité des relations entre l'homme et la nature (qui constitue d'ailleurs son cadre de vie), il apparait nécessaire de réguler les rapports de celui-ci avec cette dernière pour sa survie existentielle mais aussi et surtout pour la préservation des droits (à la vie) des générations futures.
La nécessité de préciser les contours de la notion d'environnement marin peut s'expliquer et se justifier par toute une série de notions voisines renvoyant de manière fort utile à la même réalité -de préservation de la vie présente et future par la pratique de l'équité intergénérationnelle- en partant de : écologie, nature, espace maritime, biodiversité, ressources halieutiques, minières... et aboutissant à la notion synthétique de développement durable. La notion d'environnement marin est donc toute aussi vaste que l'espace auquel il s'applique. L'environnement s'appréhende comme une notion polysémique.
Du point de vue de la littérature, l'expression environnement signifie l'ensemble des éléments naturels et artificiels qui entourent un individu humain, animal ou végétal ou une espèce. Aussi apparait-elle comme la composition des éléments objectifs et subjectifs qui constituent le cadre de vie de l'individu.
Vu sous cet angle, l'environnement demeure une notion superficielle dans la mesure où elle est présentée comme un phénomène matériel et statique dont l'existence semble à première vue éternelle. Elle serait non évolutive, non dégradable car cette définition littérale établie une relation de passivité de l'homme avec cette dernière. Or l'homme est un être insatiable et abusant de son voisin environnement. En tant qu'unique être doué de raison, il a toujours eu un ascendant sur la nature, selon une conception anthropocentriste.
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