Afin d'obtenir les informations nécessaires, nous avons dû faire face à de nombreuses difficultés, car il est bien connu que les animaux vendus illégalement le sont sur des marchés clandestins et à des heures précises où presque toute la population est chez elle. Ces dernières années, à la saison du printemps, la commémoration d'animaux de compagnie, de fourrures, de peaux, de ringorrangos et d'autres marchandises fabriquées à partir d'animaux exotiques a gravement porté atteinte à ces espèces sauvages. Cependant, le coup dur porté à la biodiversité et à l'ensemble du règne animal reste mal compris. En 2019, on sait que le trafic de ces animaux a constitué un gisement en augmentation de 40 à 60 % par rapport aux chiffres enregistrés dans les périodes précédentes. Dans la recherche présentée ci-dessous, l'évolution susmentionnée sera mise en évidence.