Andere Kunden interessierten sich auch für
![La souveraineté des États face au défi des droits de l'homme.]( "La souveraineté des États face au défi des droits de l'homme.")
La souveraineté des États face au défi des droits de l'homme.46,99 €![Développement des droits de l¿homme et souveraineté des états]( "Développement des droits de l¿homme et souveraineté des états")
Développement des droits de l¿homme et souveraineté des états40,99 €![Défis actuels de la CPI en matière de coopération entre États]( "Défis actuels de la CPI en matière de coopération entre États")
Défis actuels de la CPI en matière de coopération entre États26,99 €![L'Etat souverain face à l'obligation de protéger l'individu]( "L'Etat souverain face à l'obligation de protéger l'individu")
L'Etat souverain face à l'obligation de protéger l'individu43,99 €![La Cour Pénale Internationale et les Droits Procéduraux des victimes]( "La Cour Pénale Internationale et les Droits Procéduraux des victimes")
La Cour Pénale Internationale et les Droits Procéduraux des victimes40,99 €![Les principes de la Constitution post-totalitaire]( "Les principes de la Constitution post-totalitaire")
Les principes de la Constitution post-totalitaire45,99 €![De la réparation des préjudices subis par les victimes des crimes internationaux devant la CPI à la lumière des affaires Lubanga et Bemba]( "De la réparation des préjudices subis par les victimes des crimes internationaux devant la CPI à la lumière des affaires Lubanga et Bemba")
De la réparation des préjudices subis par les victimes des crimes internationaux devant la CPI à la lumière des affaires Lubanga et Bemba26,99 €
La réalisation d'un projet aussi audacieux que la Cour pénale internationale est une victoire pour l'humanité toute entière. Ayant suscité beaucoup d'espoir après sa naissance le 17 juillet 1998, la Cour pénale internationale fait aujourd'hui l'objet des nombreux critiques au sein de l'opinion internationale et africaine. En effet, l'action de la cour s'adosse à priori sur les dispositions du statut de rome qui est son fondement juridique. La Procureure de la CPI, Madame Fatou Ben SOUDA affirmait que : " l'aboutissement du projet de justice pénale internationale n'est pas un bénéfice pour un seul peuple, une nation ou une région mais pour l'humanité dans son ensemble " . Or malgré cette affirmation, l'on constate que , vingt ans après l'avènement du statut de Rome, il est reproché à la cour d'être une justice à deux vitesses, poursuivant uniquement, de moins majoritairement les ressortissants des États africains. Face à la méfiance de ceux ci d'une part, et l'autorité de celle làd'autre part, le chemin vers l'éventualité d'une cour pénale africaine semble irréversible mais n'entachera en rien l'effectivité de la juridiction de la Haye.