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Ce travail est une analyse de la TEP-FDG chez l'enfant fondée sur une approche historique, en recherche et en pratique cliniques. Le travail repose sur 3 articles personnels réévalués à la lumière des connaissances actuelles. Les aspects techniques sont ensuite étudiés. Enfin, une comparaison avec les épilepsies de l'enfant est proposée afin d'étudier comment les règles qui président à cette recherche pourraient servir de modèle pour la TEP en pédiatrie. Notre analyse montre que la méthode n'est souvent pas adaptée aux besoins de l'enfant. La raison principale en est que les règles qui…mehr

Produktbeschreibung
Ce travail est une analyse de la TEP-FDG chez l'enfant fondée sur une approche historique, en recherche et en pratique cliniques. Le travail repose sur 3 articles personnels réévalués à la lumière des connaissances actuelles. Les aspects techniques sont ensuite étudiés. Enfin, une comparaison avec les épilepsies de l'enfant est proposée afin d'étudier comment les règles qui président à cette recherche pourraient servir de modèle pour la TEP en pédiatrie. Notre analyse montre que la méthode n'est souvent pas adaptée aux besoins de l'enfant. La raison principale en est que les règles qui prévalent sont souvent celles de la médecine nucléaire de l'adulte, soit par méconnaissance des particularités des enfants, soit pour des raisons scientifiques, techniques ou économiques. Nous avons identifié 4 éléments indispensables pour faire évoluer la TEP-FDG vers un meilleur service rendu à la santé des enfants : 1) formation pédiatrique des intervenants, 2) recours aux recommandations et à la loi, 3) multidisciplinarité et coordination des différentes équipes, 4) utilisation de méthodes de recherche innovantes. La réponse à ces besoins justifierait le dépôt d'un PIP pour le FDG.
Autorenporträt
Gisèle Depas est docteur en médecine de l¿Université de Liège, spécialiste en pédiatrie et médecine nucléaire. Elle rejoint l¿U1129, « Epilepsies de l¿Enfant et Plasticité Cérébrale », unité mixte INSERM / Université Paris Descartes / CEA et soutient en 2012 une thèse de sciences à l¿université Paris 6, Pierre et Marie Curie, à Paris.