L'état d'élaboration des sciences, marqué par le simple recours à la vulgarisation scientifique et l'intérêt que suscitent actuellement les universitaires, les étudiants et les chercheurs à retrouver le goût du savoir, nécessite aujourd'hui une réflexion critique sur la pensée scientifique. Une réflexion qui doit être menée par étude rationnelle de la pensée humaine du double point de vue, de la connaissance et de l'action. Surtout avec la non méditation sur les grands problèmes qui relèvent de l'incomplétude des sciences, de leurs incertitudes, du manque terrible d'argumentation dans plusieurs de leurs théories, en particulier celles de l'évolution, des grandes interrogations sur les sensations, la préservation de la nature, la protection de l'environnement ainsi que d'autres questions qui ne trouvent toujours pas de réponses dans nos laboratoires et instituts de recherches et qui cherchent à les trouver dans certaines épistémologies où l'absolu peut donner sens au relatif.