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La prise en charge de la tuberculose a débuté en 1984 dans la zone de santé rurale d'Opala. Cependant, les taux de détection qui varient de 43% en 2012 et 56% en 2013 sont très éloignés du taux de dépistage attendu qui varient de 75 à 80% selon les normes. Notre travail se propose de déterminer la fréquence de la tuberculose pulmonaire bacilliforme dans la zone de santé rurale d'Opala. Il s'est agit d'une étude transversale descriptive basée sur l'analyse documentaire. A l'aide des fiches récapitulatives et registres de consultation des Centres de Santé de Diagnostics et de Traitement(CSDT),…mehr

Produktbeschreibung
La prise en charge de la tuberculose a débuté en 1984 dans la zone de santé rurale d'Opala. Cependant, les taux de détection qui varient de 43% en 2012 et 56% en 2013 sont très éloignés du taux de dépistage attendu qui varient de 75 à 80% selon les normes. Notre travail se propose de déterminer la fréquence de la tuberculose pulmonaire bacilliforme dans la zone de santé rurale d'Opala. Il s'est agit d'une étude transversale descriptive basée sur l'analyse documentaire. A l'aide des fiches récapitulatives et registres de consultation des Centres de Santé de Diagnostics et de Traitement(CSDT), nous avons retenu 321 malades suspects parmi lesquels 83 cas de tuberculose pulmonaire à microscopie positive en fonction des paramètres suivants : l'âge, le sexe, le lieu de provenance, la période de diagnostic, les résultats de contrôle de laboratoire, le régime de traitement et l'évolution de la maladie. Le pourcentage nous a permis d'analyser les résultats. Ainsi donc, nous confirmons l'existence d'une prévalence non négligeable de la tuberculose pulmonaire bacilliforme dans la zone de santé rurale d'Opala.
Autorenporträt
A. Ependja est né à Yangambi, le 02 juillet 1962. Il est titulaire de Diplôme Universitaire en Nutrition Humaine et une licence en Epidémiologie. Ses activités de recherche sont focalisées sur l¿épidémiologie, la nutrition et la recherche opérationnelle. Il est actuellement Chef de Travaux à l¿Institut Supérieur des Techniques Médicales de Yangambi