32,99 €
inkl. MwSt.
Versandkostenfrei*
Versandfertig in 1-2 Wochen
payback
16 °P sammeln
  • Broschiertes Buch

La violence carcérale en Inde désigne les abus, la torture ou la mort de personnes détenues par les forces de l'ordre, notamment la police, les prisons ou d'autres centres de détention. Elles sont souvent dues à divers facteurs tels que l'impunité, l'absence de responsabilité et l'inadéquation des mécanismes de contrôle au sein du système de justice pénale. Les victimes de la violence en détention sont souvent des personnes marginalisées, notamment des minorités, des pauvres et des personnes sans influence politique. Malgré les garanties juridiques et les directives du pouvoir judiciaire…mehr

Produktbeschreibung
La violence carcérale en Inde désigne les abus, la torture ou la mort de personnes détenues par les forces de l'ordre, notamment la police, les prisons ou d'autres centres de détention. Elles sont souvent dues à divers facteurs tels que l'impunité, l'absence de responsabilité et l'inadéquation des mécanismes de contrôle au sein du système de justice pénale. Les victimes de la violence en détention sont souvent des personnes marginalisées, notamment des minorités, des pauvres et des personnes sans influence politique. Malgré les garanties juridiques et les directives du pouvoir judiciaire visant à prévenir de tels incidents, la violence en détention reste un problème persistant en Inde, mettant en évidence les problèmes systémiques liés à l'application de la loi et à la protection des droits de l'homme. Les efforts déployés pour remédier à ce problème comprennent des réformes de la formation de la police, le renforcement des mécanismes de contrôle et la promotion de la responsabilité des auteurs de violences privatives de liberté.
Hinweis: Dieser Artikel kann nur an eine deutsche Lieferadresse ausgeliefert werden.
Autorenporträt
Prashant Panwar est professeur adjoint de droit à l'université K.R Mangalam, où il enseigne le droit de la responsabilité civile, la constitution indienne et la loi indienne sur les preuves. Il est également co-président de la cellule de criminologie et de victimologie et responsable des concours.