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Les mutations juridiques qui continuent de parsemer notre siècle ne fait qu'accentuer l'éveil de conscience de la communauté universelle sur la nécessité de protéger, avec la dernière énergie, les droits humains. Plus qu'un pari livresque à intérioriser, cet impératif catégorique est vu tel une obligation pour tous les Etats soucieux des droits humains. C'est sur ce ton humaniste que s'inscrit la question sur l'abolition de la peine de mort. Devrait-elle être abolie ou conservée ? Telle est la quintessence même de la plupart des débats sociaux de toute nature: philosophique, religieux, moral,…mehr

Produktbeschreibung
Les mutations juridiques qui continuent de parsemer notre siècle ne fait qu'accentuer l'éveil de conscience de la communauté universelle sur la nécessité de protéger, avec la dernière énergie, les droits humains. Plus qu'un pari livresque à intérioriser, cet impératif catégorique est vu tel une obligation pour tous les Etats soucieux des droits humains. C'est sur ce ton humaniste que s'inscrit la question sur l'abolition de la peine de mort. Devrait-elle être abolie ou conservée ? Telle est la quintessence même de la plupart des débats sociaux de toute nature: philosophique, religieux, moral, juridique... En Droit congolais, la question n'a jamais été tranchée de façon définitive. Pourtant, la RDC qui a ratifié plusieurs conventions internationales abolissant la peine de mort continue tout de même à la conserver. Cette opacité laisse planer une vapeur d'ombre sur la réelle option prise par le législateur congolais en la matière. Est-ce cette léthargie législative est un aveu de sa rétention ou un voeu de nous tremper dans le bain d'une cacophonie propicide aux droits humains? Cet ouvrage se propose de réfléchir sur les réels motivations du législateur congolais sur cette question.
Autorenporträt
Né à Kinshasa le 25 février 1992, Isaac MOBATU est Licencié en Droit de la prestigieuse Université catholique du Congo.