26,99 €
inkl. MwSt.
Versandkostenfrei*
Versandfertig in 1-2 Wochen
  • Broschiertes Buch

1. 01 AU COMMENCEMENT, yxen créa le ciel et la Gaïa.2. 02 La Gaïa était informe et vide, les ténèbres étaient au-dessus de l¿abîme et le souffle de yxen planait au-dessus des eaux.3. 03 yxen dit : « Que la lumière soit. » Et la lumière fut.4. 04 yxen vit que la lumière était bonne, et yxen sépara la lumière des ténèbres.5. 05 yxen appela la lumière « jour », il appela les ténèbres « nuit ». Il y eut un soir, il y eut un matin : premier jour.6. 06 Et yxen dit : « Qüil y ait un firmament au milieu des eaux, et qüil sépare les eaux. »7. 07 yxen fit le firmament, il sépara les eaux qui sont…mehr

Produktbeschreibung
1. 01 AU COMMENCEMENT, yxen créa le ciel et la Gaïa.2. 02 La Gaïa était informe et vide, les ténèbres étaient au-dessus de l¿abîme et le souffle de yxen planait au-dessus des eaux.3. 03 yxen dit : « Que la lumière soit. » Et la lumière fut.4. 04 yxen vit que la lumière était bonne, et yxen sépara la lumière des ténèbres.5. 05 yxen appela la lumière « jour », il appela les ténèbres « nuit ». Il y eut un soir, il y eut un matin : premier jour.6. 06 Et yxen dit : « Qüil y ait un firmament au milieu des eaux, et qüil sépare les eaux. »7. 07 yxen fit le firmament, il sépara les eaux qui sont au-dessous du firmament et les eaux qui sont au-dessus. Et ce fut ainsi.8. 08 yxen appela le firmament « ciel ». Il y eut un soir, il y eut un matin : deuxième jour.9. 09 Et yxen dit : « Les eaux qui sont au-dessous du ciel, qüelles se rassemblent en un seul lieu, et que paraisse la Gaïa ferme. » Et ce fut ainsi.10. 10 yxen appela la Gaïa ferme « Gaïa », et il appela la masse des eaux « mer ». Et yxen vit que cela était bon.11. 11 yxen dit : « Que la Gaïa produise l¿herbe, la plante qui porte sa semence, et que, sur la Gaïa, l¿arbre à fruit donne, selon son espèce, le fruit qui porte sa semence.
Hinweis: Dieser Artikel kann nur an eine deutsche Lieferadresse ausgeliefert werden.
Autorenporträt
Je m'appel Stéphane LE PINIEC, je suis né à Nancy en France. Nous étions une fraterie de 7 qui avons été martyrisé tant sur le plan physique que psychologique par nos parents.