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Aujourd'hui, avec l'avènement de la guerre internationale contre le terrorisme, tout le droit international semble en pleine défiguration. En effet, depuis le 11 septembre 2001, le droit international dans son ensemble semble être frappé de stupeur et d'une incapacité relative à qualifier certains phénomènes, notamment la lutte armée contre le terrorisme. Devant ce silence qui semble raviver " l'ère du nominalisme " , l'on a vite assisté à des amalgames. En effet, tandis que certains plaident pour une extension du droit international humanitaire (DIH) à la lutte armée contre le terrorisme,…mehr

Produktbeschreibung
Aujourd'hui, avec l'avènement de la guerre internationale contre le terrorisme, tout le droit international semble en pleine défiguration. En effet, depuis le 11 septembre 2001, le droit international dans son ensemble semble être frappé de stupeur et d'une incapacité relative à qualifier certains phénomènes, notamment la lutte armée contre le terrorisme. Devant ce silence qui semble raviver " l'ère du nominalisme " , l'on a vite assisté à des amalgames. En effet, tandis que certains plaident pour une extension du droit international humanitaire (DIH) à la lutte armée contre le terrorisme, d'autres, par contre, y manifestent une certaine résistance. Dans ce climat de contradiction, la détermination du régime juridique de la lutte armée contre le terrorisme est devenue l'objet d'un combat doctrinal et même souvent d'un duel judiciaire, soulignant ainsi la difficulté à cerner ses contours. Face à ce mouvement où on a l'impression de naviguer à vue, la nécessité de préciser le régime juridique de la lutte armée contre le terrorisme, ses rapports avec le droit international général et, surtout, le droit international humanitaire s'impose. C'est la vision de la présente réflexion.
Autorenporträt
Dabire Tierowe Germain est titulaire d'un master recherche en droit international et des droits de l'homme (Burkina Faso) et actuellement doctorant en droit international à l'Université de Genève. Il est par ailleurs membre de la Société Burkinabé de Droit Constitutionnel (SBDC).