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Murnau, Bavière. 15 avril 1945. Alors que le «¿Reich de mille ans¿» vit ses dernières heures, deux hommes quittent en toute hâte le village, sac sur le dos, avec la volonté farouche de ne pas être vus. Quel secret Freddie et Michael emportent-ils avec eux, le long des routes alpines, grouillantes de malice et de fusils chargés¿? Il ne leur faudra pas se retourner, car il est des choses plus mortelles que les balles pour le c¿ur des hommes. Et l¿ennemi n¿est peut-être pas devant soi, au détour d¿un virage, mais derrière, caché dans les brumes du passé¿ Laissez-vous porter par la plume fluide et…mehr

Produktbeschreibung
Murnau, Bavière. 15 avril 1945. Alors que le «¿Reich de mille ans¿» vit ses dernières heures, deux hommes quittent en toute hâte le village, sac sur le dos, avec la volonté farouche de ne pas être vus. Quel secret Freddie et Michael emportent-ils avec eux, le long des routes alpines, grouillantes de malice et de fusils chargés¿? Il ne leur faudra pas se retourner, car il est des choses plus mortelles que les balles pour le c¿ur des hommes. Et l¿ennemi n¿est peut-être pas devant soi, au détour d¿un virage, mais derrière, caché dans les brumes du passé¿ Laissez-vous porter par la plume fluide et poétique de Laurent Dencausse, qui, après La Voltigeuse de Constantinople publié en 2020 chez JDH Éditions, revient avec son deuxième roman, plus ambitieux, L¿automne où les arbres ne perdirent pas leurs feuilles. «¿Que l¿on voie la vie comme une farce, que l¿on se sente ballotté par le hasard ou entre les mains sûres de la destinée, que l¿on se figure être le roi du monde ou le dernier des derniers, tout cela importe peu au moment où notre c¿ur se brise comme un vase en cristal sur le carrelage d¿une cuisine, éparpillant ses éclats étincelants aux quatre coins d¿un univers qui ne sera désormais que souffrance.»
Autorenporträt
Laurent Dencausse, professeur d'anglais en région toulousaine, a toujours écrit. Quelques poèmes, quelques micronouvelles, écrire est devenu pour lui une sorte de white-spirit mental, essentiel pour éliminer les boulettes de goudron que quelques années d'Éducation nationale ont déposées sur sa frêle carcasse. Ceci est son premier roman, mais certainement pas le dernier.