Jacques Vingtras amorce son engagement politique, entravé par ses déboires financiers, familiaux et sentimentaux. Il parle de sa volonté de défendre les pauvres. Il connaît ce qu'est la misère. Lui-même a longtemps été un pauvre, ayant du mal à se trouver un logement, devant travailler ardemment afin de vivre. C'est pourquoi il montre un intérêt pour le républicanisme et une opposition au bonapartisme et Napoléon III. Il tâte d'ailleurs du journalisme et met sa plume au service de ses idéaux. Par ailleurs, ses parents se séparent du fait d'une liaison amoureuse du père. Le héros, lui, connaît une déception amoureuse : une femme plutôt bourgeoise, dont il était amoureux, s'est montrée dégoûtée par les pauvres, et il a alors cessé de l'aimer. Il relate aussi ses amitiés, dont une qui s'avère être assez complexe, celle avec Legrand (portrait de Poupart-Davyl, ami de Vallès). Ce dernier, né dans une famille catholique, n'a pas les mêmes opinions que le jeune héros résolument anticlérical. Dans le texte, Legrand dit à Vingtras : Je crois à Celui d'en haut, tu crois à ceux d'en bas. Le duel s'achève sur la défaite de Legrand, grièvement blessé, mais qui survivra. Le livre s'achève sur la mort du père de Vingtras, et la rencontre avec sa mère.
Hinweis: Dieser Artikel kann nur an eine deutsche Lieferadresse ausgeliefert werden.
Hinweis: Dieser Artikel kann nur an eine deutsche Lieferadresse ausgeliefert werden.