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Les rayons cosmiques sont des particules chargées qui bombardent la terre en permanence. Le but de l'expérience CODALEMA, installée à l'observatoire de radioastronomie de Nançay (France), est d'étudier la radiodétection des rayons cosmiques d'ultra-haute énergie. Le dispositif initial utilise en coïncidence un réseau des détecteurs de particules et un réseau d'antennes. Utilisant cet appareillage, une nouvelle analyse visant à estimer l'énergie de la gerbe à partir des données radio est présentée. Nous déduisons qu'une résolution en énergie meilleure que 20% peut être atteinte et que, non…mehr

Produktbeschreibung
Les rayons cosmiques sont des particules chargées qui bombardent la terre en permanence. Le but de l'expérience CODALEMA, installée à l'observatoire de radioastronomie de Nançay (France), est d'étudier la radiodétection des rayons cosmiques d'ultra-haute énergie. Le dispositif initial utilise en coïncidence un réseau des détecteurs de particules et un réseau d'antennes. Utilisant cet appareillage, une nouvelle analyse visant à estimer l'énergie de la gerbe à partir des données radio est présentée. Nous déduisons qu'une résolution en énergie meilleure que 20% peut être atteinte et que, non seulement la force de Lorentz, mais aussi une contribution proportionnelle à la charge totale produite dans la gerbe atmosphérique joue un rôle significatif dans l'amplitude du champ électrique mesuré. Depuis 2011, un nouveau réseau de détection radio, constitué de 60 stations autonomes auto-déclenchées est en déploiement autour du dispositif initial. Ce développement conduit à des défis spécifiques en termes d'identification des gerbes atmosphériques. Concernant la localisation de la source de l'émission radio, nous montrons que ce problème est mal-posé au sens de Hadamard.
Autorenporträt
Dr Ahmed Rebai détient un doctorat en physique nucléaire spécialité astroparticules de l'université de Nantes (France) en 2013, et un M.Sc. en physique des particules de l'université Blaise Pascal à Clermont-Ferrand (France) en 2009, et un B.Sc. en nanosciences de l'université de Carthage (Tunisie) en 2008 obtenu au sein du projet Tempus-meda.