L'étude du coq dans le cadre de la parole de Dieu n'est pas sans poser des difficultés d'interprétation à plusieurs points de vue. Primo, certaines rédactions de l'Ancien Testament se réfèrent à cet animal, d'autres pas. Deuzio, les divergences manifestées eu égard à l'approche comparative entre le Tanakh et le Talmud (interprétation du Tanakh) d'une part, et entre les traductions araméennes (Targum)d'autre part, se sont étendues à d'autres pays et à d'autres langues. Tercio, relativement au Nouveau Testament, l'analyste relève des significations spirituelles du chant du coq. Ainsi, la symbolique biblique met en exergue les dynamiques de conversion, d'appel, de réveil, de résurrection tant dans des perspectives historique, prophétique qu'eschatologique. Cependant, il importe de prévenir également des dérives anti-bibliques observables dans certaines pratiques culturelles, cultuelles, voire traditionnelles existantes dans de nombreuses nations et s'inscrivant dans le fétichisme, dans diverses formes de voyance et dans certains sacrifices.