Aujourd'hui, l'augmentation du taux d'analphabétisme, de décrochage scolaire, la baisse de niveau de diplômes et la dépendance économique asservissante de Paris contribuent à des incompétences linguistiques et réduit l'usage de la langue identitaire arabe. Ce contexte facilite l'infiltration de la Francophonie néo-coloniale dans un dialecte tunisien "corrompu" au moyen d'emprunts, de transferts et d'interférences.