Avec Feuerbach nous constatons l'idée hégélienne de l'être humain selon laquelle la mort innée de l'individu l'élève à l'existence spirituelle. Néanmoins, les mots n'ont plus les significations identiques. Les chrétiens doivent savoir qu'ils sont sans doute en présence d'un exemple unique : une religion qui ne craint pas de faire preuve de la mort comme l'anéantissement de l'être en entièreté, de l'âme dans la géhenne. On parle de la mort du Christ à l'occasion de la cérémonie la plus sainte, l'eucharistie (sainte scène chez les chrétiens protestants).