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La perception du loup dans la littérature pour enfants a changé au cours de la dernière génération, passant d'une vision essentiellement négative à une vision beaucoup plus positive. Les valeurs patrimoniales de la fin du XXe siècle, la préservation de l'environnement et le politiquement correct, entre autres, ont transformé le loup d'un méchant stéréotypé, sans complication maléfique avec de mauvaises intentions, en une figure incomprise, voire héroïque. L'interprétation classique de Halliwell de «Les trois petits cochons», avec le loup mangeant deux cochons et vaincu seulement d'avoir mangé le troisième par sa supériorité d'intelligence, est devenue la version de Scieszka d'une erreur judiciaire avec le loup comme victime, et l'histoire de Trivizas des loups comme des héros persécutés par le gros méchant cochon. Le loup qui pendant des siècles était connu pour avoir mangé le Chaperon Rouge et sa grand-mère est maintenant éduquée, socialement consciente, aide les petits garçons à cueillir des fraises des bois et assiste au ballet. L'hypothèse est étayée par une enquête auprès des élèves du primaire, qui démontre une attitude essentiellement sympathique envers les loups.
La perception du loup dans la littérature pour enfants a changé au cours de la dernière génération, passant d'une vision essentiellement négative à une vision beaucoup plus positive. Les valeurs patrimoniales de la fin du XXe siècle, la préservation de l'environnement et le politiquement correct, entre autres, ont transformé le loup d'un méchant stéréotypé, sans complication maléfique avec de mauvaises intentions, en une figure incomprise, voire héroïque. L'interprétation classique de Halliwell de «Les trois petits cochons», avec le loup mangeant deux cochons et vaincu seulement d'avoir mangé le troisième par sa supériorité d'intelligence, est devenue la version de Scieszka d'une erreur judiciaire avec le loup comme victime, et l'histoire de Trivizas des loups comme des héros persécutés par le gros méchant cochon. Le loup qui pendant des siècles était connu pour avoir mangé le Chaperon Rouge et sa grand-mère est maintenant éduquée, socialement consciente, aide les petits garçons à cueillir des fraises des bois et assiste au ballet. L'hypothèse est étayée par une enquête auprès des élèves du primaire, qui démontre une attitude essentiellement sympathique envers les loups.
La perception du loup dans la littérature pour enfants a changé au cours de la dernière génération, passant d'une vision essentiellement négative à une vision beaucoup plus positive. Les valeurs patrimoniales de la fin du XXe siècle, la préservation de l'environnement et le politiquement correct, entre autres, ont transformé le loup d'un méchant stéréotypé, sans complication maléfique avec de mauvaises intentions, en une figure incomprise, voire héroïque. L'interprétation classique de Halliwell de «Les trois petits cochons», avec le loup mangeant deux cochons et vaincu seulement d'avoir mangé le troisième par sa supériorité d'intelligence, est devenue la version de Scieszka d'une erreur judiciaire avec le loup comme victime, et l'histoire de Trivizas des loups comme des héros persécutés par le gros méchant cochon. Le loup qui pendant des siècles était connu pour avoir mangé le Chaperon Rouge et sa grand-mère est maintenant éduquée, socialement consciente, aide les petits garçons à cueillir des fraises des bois et assiste au ballet. L'hypothèse est étayée par une enquête auprès des élèves du primaire, qui démontre une attitude essentiellement sympathique envers les loups.