D'un côté, il y a les entreprises, détentrices d'un capital économique, social et politique ; de l'autre, les organisations sociales, en particulier les briseurs de cocotiers, détenteurs d'un capital économique presque nul, mais d'un poids important dans les sphères politique et culturelle, qui tentent de construire un projet alternatif pouvant servir certains des exclus ou des lésés par le projet Grande Carajás (PGC).