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En écrivant cette histoire, mon soucis permanent reste concentré sur la notion de perte de cerveaux. C'est pour cela que le décor principal de cette histoire est le continent africain.Je suis de ceux qui sont persuadés que le développement d'une contrée, ou d'un continent, passe d'abord par la prise en charge de l'instrument de progrès par les autochtones. En effet force est de constater que les cerveaux africains font le bonheur des pays du nord pendant que les leurs croupissent dans la misère parfois inexplicable. D'où, l'Africain comme l'auteur de son propre auto d'extrusion.La question que…mehr

Produktbeschreibung
En écrivant cette histoire, mon soucis permanent reste concentré sur la notion de perte de cerveaux. C'est pour cela que le décor principal de cette histoire est le continent africain.Je suis de ceux qui sont persuadés que le développement d'une contrée, ou d'un continent, passe d'abord par la prise en charge de l'instrument de progrès par les autochtones. En effet force est de constater que les cerveaux africains font le bonheur des pays du nord pendant que les leurs croupissent dans la misère parfois inexplicable. D'où, l'Africain comme l'auteur de son propre auto d'extrusion.La question que je me pose c'est, justement, de savoir si le manque à gagner dans le processus du développement ne viendrait pas du manque de la matière grise qui enrichit l'ailleurs.J'ai souhaité bâtir cette histoire préoccupante pour l'Afrique sur base d'une tragédie amoureuse et humaine.
Autorenporträt
Je me nomme Njuwou Sarah Chue, autodidacte de mon tout premier ouvrage fiction intitulé : le retour en héros d'un enfant du pays. Je suis née au Cameroun pays où j'ai laissé tout mes souvenirs. J¿ai quitté l'école âgée de quinze ans. Arrivée en Europe à la fin de mon adolescence en 1989, en 1993 j'ai été repérée et désignée pour jouer la figurante dans un film belge intitulé {Best & Blanc} d'où m¿est venu l'idée d'écrire des scénarios autodidactes. Je ne suis issue d'aucun filière littéraire, néanmoins mon inspiration divine ne le démentira pas j'espère. Mes manuscrits déposés et acceptés, je suis devenue Membre de la SABAM belge. Mon premier ouvrage édité les cinq autres en écriture suivra s'il plait à Dieu. Vouée pour la cause humanitaire je contacte que la fuite des cerveaux est une tragédie pour les pays développement. Mon objectif stratégique est d'utiliser l'humour pour faire passer un message ; réveiller les consciences en quelque sorte avec l'espoir que les choses puis changer pour tous ceux qui vivent sans espoir dans la précarité. Passionnée de l'écriture, je partage mes activités d'écriture et ma famille. Je suis passionnée de la nature, de paysage, des oiseaux, surtout des fleurs. Je dédie mes ouvrages à mon regretter fils bien aimé Yannick Ndayou.